C'est une fresque colorée, noire et grinçante en forme d'apocalypse joyeuse, sur les langages de la barbarie dans laquelle voix, instruments, musique, chansons et livret sonnent ensemble comme une " peinture musicale ". C'est une création utopique-poétique qui replace l'individu, tel un enfant, au centre de ses désirs de transformation du monde.

C'est une mise en miroir d'époques -la guerre de 14/18 et la montée du nazisme- d'une richesse artistique intense et d'une violence sociale et politique inouïe, avec la nôtre, en plein bouleversement. C'est un travail de mémoire, mémoire qui est un des garde-fous les plus précieux de notre monde " actuel " contre l'appel du vide et la fascination du virtuel

Markus Fisher et Franca Cuomo, chant, jeu
Christiane Bopp, trombone,
Cyril Trochu, piano, accordéon
Sylvain Kassap, clarinettes et compositions solo