Voici comment commence le Compas dans l'oeil. Paul est coupable d'avoir tué son père.

Il est coupable, face aux hommes, face aux jurés, face à Dieu, mais il est libre, tellement libre, qu'il ne veut plus se censurer, ses souvenirs, ses repères vont revenir, pendant le procès comme une ré(s)urgence. Pierre Lericq fondateur des Epis Noirs propose ici une monologue percutant et poétique.