L'interprétation des acteurs est excellente et surtout parfaitement audible, confort d'écoute qui, à notre époque, devient "rarissime". Le poids des usages n'empêche pas "notre" Marianne de délivrer à son mari Octave (magistral) des propos fort clairs sur son ressenti. Un très agréable moment de théâtre. # écrit Lundi
Les comportements sociaux étaient par trop obsolètes vis à vis de notre époque. Il est vrai que la période concernée n'était pas précisée et cela aurait été préférable car bien que se déroulant au sein d'une société traditionaliste cela faisait un peu trop "daté". De plus les airs de guitare, pour la plupart, n'étaient pas réellement interprété ; un peu dommage d'utiliser "une bande son" dans ce contexte. # écrit Lundi
Je ne connaissais pas ce groupe. Profitant de leur venue à Paris ils ont tenu à présenter l'intégralité de leurs nouvelles chansons, si bien que les textes s'échelonnaient sans discontinuer et sans pause ne laissant pas de temps pour vraiment apprécier. # écrit Lundi
Il est introverti, maladivement timide, poète et brisé par une rupture. Elle est décidée et dynamique, n'hésitant pas à se comporter à contre-courant et à provoquer. Il faut cette soirée où il se traine avec appréhension et où elle espère "manger" la première partie de la soirée et attendant un "rendez-vous". En arrêt devant la porte d'entrée qu'ils ne franchiront pas, ils vont échanger des propos d'abord, puis une compréhension et une complicité... et peut être plus, par l'affinité des contraires. # écrit Il y a 2 semaines , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
Cette pièce m'a laissée dubitative. J'ai préféré le jeu de l'acteur mais j'ai été un peu gênée par les pauses (noir en scène et changements). Le texte m'a également déconcerté mais la prestation est de qualité # écrit Il y a 2 semaines
La confrontation de ces deux femmes dans le service des urgences d'un hôpital n'est qu'effleurée, emportées qu'elles sont dans leur peur et leur angoisse. Deux vies, deux amitiés pulvérisées par un drame généré par l'inconséquence d'un enfant tue et dissimulée. # écrit Il y a 3 semaines
Benjamin Bollen continue, seconder avec talent par Isa Fleur, à nous entraîner dans une folle cavale musicale et humoristique de "ses" héros. Déjanté et iconoclaste au possible dans de grands "fous rires" certes pas "légers/légers" mais distrayants au possible ! # écrit Il y a 3 semaines
-De "l'entregent" pour une femme qui n'en manque pas !
8/10
Delphine Gransart n'hésite pas à nous présenter une "Goulue" assez sensuelle qui au delà des conventions et des usages n'hésita pas à afficher ses différences et ses excès. Une "sacrée bonne femme" dont la vie s'éteignit dans l'oubli et la misère. # écrit Il y a 3 semaines
Quel beau moment d'émotion que cette pièce ! En 1661, à Londres, une véritable révolution va bouleverser le monde du théâtre. Les femmes, interdites de scène, suite à un édit royal vont obtenir le droit de jouer. En plus de pulvériser les usages ce fait va irrémédiablement modifier les rapports hommes/femmes des comédiens. Excellente interprétation de l'ensemble de la troupe (Stéphane Cottin magistral), beaux costumes et une puissance et un dynamisme de jeu qui nous emporte... Guitry aurait pu dire : si le théâtre m'était conté... # écrit Il y a 3 semaines