L'idée est très belle, la mise en scène sympa. C'est aussi une bonne occasion de découvrir du gospel pour ceux qui ne le connaissent pas. Un gros regret : la musique, beaucoup trop forte, couvre la plupart des voix des chanteurs, ce qui gêne énormément pour la compréhension des paroles... # écrit le 04/05/03 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
A travers les réflexions (souvent cafardeuses) d'Aristide, vampire philosophe et voyageur, Mickaël Sicsic nous livre son propre regard sur notre société. Un texte souvent incisif, un artiste multiforme (auteur, metteur en scène, acteur, chanteur, musicien)pleinement engagé (dans ses idées comme dans son professionnalisme : ce soir-là, il a joué, pleinement, devant deux personnes seulement). Un spectacle certes perfectible, mais plein d'idées. Un regard acéré sur notre société : les plus vampires ne sont pas forcément ceux que l'on croit... # écrit le 24/10/05
Je n'ai pas lu le texte de Dostoïevski, mais, si je l'avais lu, peut-être n'aurais-je même pas fait le lien avec cette adaptation. Dès le début, le spectateur se demande où l'auteur veut en venir. L'histoire n'est pas très lisible. Quant au message ; y en a t'il un ? A la fin du spectacle, sous les applaudissements discrets, les acteurs - les pauvres, ils font leur possible, et reconnaissons à au moins deux d'entre eux un talent certain pour faire passer des émotions - applaudissaient, en riant, les spectateurs. Comme soulagés qu'aucun n'ait quitté la salle avant la fin... # écrit le 26/09/04
Que de longueurs, que de blablas inutiles dans ce spectacle. On s'ennuie, parfois, à l'histoire, sans grand intérêt, de ce Zoltan. Mais on reste, on reste, parce que Gérard Majax reste un grand illusionniste. Et c'est déjà beaucoup. # écrit le 26/09/04
Beau texte, joliment interprété par sa jeune auteure... Le monde de l'enfance, avec beaucoup de poésie, d'humour, de légèreté... Pourquoi, mais pourquoi, une fin aussi dure : le spectateur ressort de ce spectacle groggy, avec une désagréable amertume dans la bouche, au lieu d'un goût simplement acidulé. C'est dommage... # écrit le 22/04/04
150 femmes en 1 heure. Cela pourrait ressembler à un inventaire à la Prévert. C'est, hélas, presqu'aussi indigeste qu'un annuaire téléphonique. Les fauteuils du théâtre sont très confortables. C'est déjà ça... # écrit le 09/06/03
Antony Giuliani
Les Sea Girls dans Dérapage