Le titre et la présentation avaient piqué ma curiosité mais j'ai été gênée par l'accumulation de thèmes, amours toxiques, violences, féminicides...et par la langue très actuelle de cette pièce. Comme c'était la première, faites-vous votre opinion. # écrit le 10/11/24
Un brillant exercice de politique fiction...à moins que ?! De l'ENA aux marches du pouvoir, l'ascension de deux politiciens. Cynisme et manipulation, tous les coups sont permis ! Décors, mise en scène habile, dialogues incisifs et jeu magistral des deux jeunes comédiens, tout concourt à faire de ce spectacle une réussite. À ne pas manquer. # écrit le 09/11/24
Charlie réalise à la mort de son père qu'elle s'engluée dans un quotidien médiocre et cherche une échappatoire. Et si...oser un "pas de côté" lui rendait ses idéaux de jeunesse ? et qui sait, lui offrait une vie héroïque ? Hélas, les plus beaux rêves ont leur part de noirceur à l'instar des monstres qui sommeillent en nous. Après un départ un peu chaotique, l'intrigue prend corps et la jeune troupe enthousiaste fait montre d'une sympathique énergie. Endossant divers rôles, aidés de masques, les acteurs sont tres investis, mention spéciale pour les deux comédiennes. Un travail à encourager. # écrit le 07/11/24
Cette histoire terrible s'inscrit dans l'Histoire tragique, celle d'une jeune fille devenue homme à force d'hormones et de dopage, au nom du sport de haut niveau, pour la gloire de la patrie, la RDA. Distribution parfaite, Lilli/Heiner, tous deux excellents, la mère aigrie, aveugle aux débordements de l'état, glaçante et bouleversante ! Décor dépouillé, un bloc de verre transparent empli de boîtes de médicaments...mise en scène rigoureuse, ce spectacle de qualité est une réussite ! Ne le manquez pas ! # écrit le 07/11/24
Mathilde Charbonneaux rend hommage à "la Maillan", entre souvenirs de théâtre et de vie. Les costumes, la coiffure, la voix bien sûr de la reine du boulevard, mais c'est bien une jeune comédienne enthousiaste qui, derrière ce portrait, dit aussi les clivages du théâtre, tragédie/comédie, public privé avec la référence à Koltès et Chéreau. Un travail intéressant. # écrit le 07/11/24
Le collectif In Itinere propose une oeuvre originale et atypique pour représenter la révolution en comparaison avec la menace d'une tempête. Ainsi, l'histoire de la Commune de Paris est reliée au présent et à la nécessité imminente d'une révolte écologique. Mime, chorégraphies, gestuelle... les corps des sept comédiens et comédiennes de nationalités différentes disent la lutte, l'espoir et le collectif. Ce spectacle est passionnant mérite le détour ! # écrit le 05/11/24
Comme à l'accoutumée avec Tanguy Pastureau, on sourit et on rit avec, et jamais de. Comme sur Inter où il "maltraite" l'info, il distille savamment et avec finesse ses critiques acérées sur le monde actuel, sa violence gratuite, sa bêtise crasse, et nos mille et un travers aussi. Comment se blinder contre la haine et l'hostilité quand on est sensible ? Justement grâce à ce qui fait notre humanité, l'empathie. Un excellent moment avec ce spectacle qui va crescendo et beaucoup de plaisir. # écrit le 03/11/24
Au-delà de l'érudition musicale et philosophique, la rencontre avec Nadia Boulanger et de ses innombrables amis et élèves musiciens de renommée internationale est une leçon de vie : "...rester fidèleàce qu'on est..." Véronique Soufflet offre une prestation de grande qualité. # écrit le 30/10/24
Un échange tendu entre deux personnages tout en nuances sur un thème délicat : le coming out ou comment apprendre à accepter la différence. Un spectacle de qualité et une réflexion sur l'intime à proposer à ceux qui doutent encore de la nécessité de la tolérance si bien mise en valeur par les deux comédiens au jeu subtil. # écrit le 30/10/24
Performance et dynamisme, quelques moments d'émotion dans ce one man travaillé indéniablement, cependant je n'ai pas réussi à pénétrer cet univers trop foutraque à mon goût pour que son humour noir me déride, dommage. # écrit le 30/10/24
Sandra Fabbri dans Rallumer les lucioles
Les Desperate Housemen se marient !