A la lecture de l'article du Parisien, c'est enthousiaste que je me suis rendue à ce rendez-vous hebdomadaire. Ecrivain, auteur de discours pour quelques édiles représentés par un ancien ministre dans la salle, chroniqueur... Je pensais faire une rencontre... De celle qui traverse. Un agencement de mots, une sonorité, un rire de finesse, un sourire de pertinence ? Et bien non... Mes mains sont restées dans les poches de mon manteau, à peine retiré, la bouche cousue, le texte décousu, le manque de plaisir... Des accents de grossièreté, des insistances, des maladresses.. Comme si Antoine Bueno affolait la scène, courrait après un temps incertain, par peur que le temps lui échappe. Trop de tout, trop de rien. Vraiment... Je suis déçue, tout simplement. # écrit le 31/03/16