Quelle déception ! Passée la surprise de revoir Judith Malgré, on s'ennuie mortellement. Pauvre Baudelaire! Les lectures des poèmes sont si peu inspirées. C'est un peu le chant du cygne. A un moment il faut savoir tirer sa révérence. Problème de diction, de souffle, de port de voix... Le format est scolaire au possible : 3 ou 4 poèmes lus puis un commentaire et ainsi de suite 4 fois. Les commentaires sont pompeux au possible. On a l'impression d'être sur les bancs du collège. Bon sang, on parle des Fleurs du mal quand même ! Un livre de passions sulfureuses, qui éveille les sens et qui nous élève. Là on baille d'ennui. # écrit Lundi
Quel défi que de présenter un tel monument sur scène! Le texte n'est pas un cadeau pour le comédien qui, quoique sympathique, manque de direction. La mise en scène manque souvent de rythme et d'idées. Je ressors heureux d'avoir entendu du Rabelais mais mitigé et frustré sur la proposition artistique. # écrit Lundi