Pour être informé des prochaines dates pour "Rencontres avec la poésie vivante"
Inscrivez-vous Gratuitement à l'Alerte Email.


Salle
où cet événement eut lieu :
Les Déchargeurs - Salle Vicky Messica, 75001 Paris

Rencontres avec la Poésie vivante
Seyhmus Dagtekin

Les Déchargeurs, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -
Une heure, un poète, une rencontre.

Cette année, nous irons voir comment la poésie rencontre le monde, s'allie aux autres arts pour nous en parler, rêve l'univers, retient la mémoire, fabrique de l'avenir. Le principe reste le même : un samedi par mois, entre chien et loup, nous vous offrons une conversation d'une heure à bâtons rompus, qui fait la part belle à l'histoire intime et à la relation politique du poète à ses mots. L'heure d'émerveil est suivie d'une rencontre plus informelle dans un cadre amical. Venez-y en curieux ou en amateur, c'est la même promesse que je vous fais : vous en partirez en ami et en complice.

Seyhmus Dagtekin, poète et romancier, né et élevé dans un village kurde en Turquie, vit à Paris depuis 1987. Il écrit en turc, en kurde ou directement en français.
Nous évoquerons avec le poète son rapport à la langue natale, à la mémoire du corps et à l'exil, mais surtout sa vision de la poésie en tant qu'elle réinvente sans cesse des ponts entre les hommes. Autour de deux de ses oeuvres : "Élégies pour ma mère" (Le Castor Astral, 2013) et "À l'ouest des ombres" (Le Castor astral, 2016).


Auteur(s) : Seyhmus Dagtekin
Artiste(s) : Seyhmus Dagtekin





Pour Tout public

Lecture / Poésie / Contes

Langue : Français
Durée : 60 minutes soit 01h00





Evénements associés :
Sillages
La Baby-sitter, comédie de René de Obaldia
Les écrivaines israéliennes lues par Aurélie Saada
Alphonse Daudet : Contes et souvenirs littéraires
Les femmes savantes
Martin Gardey de Soos : L'Homme qui plantait des arbres
Iphigénie en Aulis d'Euripide, traduction nouvelle et cadencée de Nicolas Wapler
Le Cloître et la scène d'André Villiers
Judith Magre dit Baudelaire
Jean-Luc Jeener lit Proust