Très mauvaise pièce, avec un "thème" éculé, et des numéros de cabotinage qui battent des records! On dit que Le"public" aime ça? À vérifier...Faute de grives on mange des merles! # écrit le 27/11/17
Très bonne mise en scène et jeu d'acteurs, malgré un manque de direction plus "engagé" et original sur les rôles féminins. Les hommes ont la part belle, en particulier Stéphane Wolkowich qui est excellent. # écrit le 15/11/17
Fallait le faire! On plonge avec humour, grâce, folie, drame, horreur, dans l'abîme de cette "histoire" terrible, grâce aux multiples talents d'Andréa Bescond. Rien de sordide! cette artiste transcende tout, "dit" tout. Quand le théâtre contemporain est engagé à ce point, je dis enfin! # écrit le 02/04/16
-Avis Très décevant, faussement intello, Les Comédiens s'ennuient, le côté "revue" année 20 ! Mon oeil! Scénographie boursoufflée, décor pompeux, musiques idiotes. Bonne chanteuse lyrique. Je respecte le travail, mais je préfère ne pas noter. # écrit le 02/04/16
Excellente mise en scène. La musique très présente est indispensable pour installer les cadres de jeu et entrer dans un texte qui n'est peut être pas au départ, destiné au théâtre. # écrit le 31/03/16
Je me demande si il faut continuer à autoriser la diffusion d'avis idiots, revanchards, ou autres.... Je regrette l'époque ou on allait au théâtre ou au cinéma avec un esprit de curiosité. Maintenant on compte les étoiles, ou les zigouisgouis sur des sites 'aviséś avant de sortir. Beaucoup d'auteurs et de créateurs n'auraient pas vu le jour avec ces nouvelles pratiques d'évaluation... Faut il continuer à cautionner ces systèmes? Qui appauvrissent à ce point la réflexion la curiosité et l'intelligence? Bref... Tout ça pour dire que cette pièce est excellente et que parler des ´jeux faux ´ de manque ´d'hilarité´ etc... Est vraiment lamentable!! N'allez pas au théâtre et restez devant la télé et continuez à formater vos pauvres et tristes cervelles. # écrit le 07/10/13
je l'ai vu au Théâtre du Rond point la saison dernière et j'ai beaucoup aimé, bien sûr on est bousculé par une théâtralité débridée, mais, libre et sans concession. # écrit le 16/10/12